[Voilà sur une entrevue msn, mon idée d'ecrire sous genre de mini mini fiction ce qui est caché de mon personnage lorsqu'il quitte le chateau pour se rendre chez lui à été conseillé. Je salu au passage la personne qui se reconaitra.
En bref ici sous plusieur chapitre vous saurez ce que Galabrian fait lorsqu'il quitte pour des cours séjours en Transylvannie pour urgence ou probleme privé.]
Chap 1 (1er morceau) : Départ improbable. (suite du topic du couloir au deuxième étage visible - >
là!)
Vendredi soir.
Après avoir quittez Sirius au deuxième étages, Galabrian se rendit au bureau du directeur de l’école qui lui avait envoyer un hibou lui disant qu’il était revenus de Londres avec un portoloin pour la Transylvanie .
_ « Plumes en sucrrrrre ! »dit-il , les yeux encore légèrement rouge du aux larmes. Mais la statue qui menait au bureau du directeur ne bougea pas.
_ « Parrrr bleu … » Il fit un gros effort pour contrôler son accent.
_ « Plumes en Sucrre. » C’est avec un sourire qu’il vit la statue bouger et faire apparaître les marche que Galabrian se dépêcha de monter deux par deux. Il frappa ensuite à la porte du bureau et entre.
_ « Bonsoirrrrr Monsieur le dirrrecteur vous ne pouvez pas savoir à quel point je vous suis rrrreconnaisant ». Il s’approcha d’Albus Dumbledore
_ « Bonsoir Galabrian. » Le vieil homme au nez aquilin se leva pour désigné ou était le portoloin. « Avec le décalage horaire vous devriez avoir assez de temps. » Dit-il un doux regard derrière ses lunettes en demi-lune en faisant signe à l’homme qu’il avait pour ainsi dire soulager de prendre le protoloin.
_ « Je vous rrrremercie du fond du coeurrr Monsieur le dirrrecteurrr. » Galabrian lui jeta un regard admiratif et toucha le portoloin qui n’était rien d’autre qu’un réveil matin usé par le temps. Il se retrouva alors comme tiré par le nombril pendant quelques secondes ou des paysages varié tourné à toute vitesse autour de lui. Il atterrit doucement dans l’herbe d’une grande propriété ou un immenses manoir éclairé par le clair de lune dominait le sommet d’une petite colline. Galabrian fit disparaître le réveil d’un coup de baguette et se mit à courir tout d’abord vers le manoir, puis il tourna sur sa droit prés d’un grand chêne ou il ouvrit doucement une clôture de bois blanc . Il fit quelque pas et tomba à genoux au pieds d’une jolie tombe ou deux noms gravé joliment identifié les défunts. « (Franshezka Lugubris 1792-1827 et Zorianna Lugubris 1816-1827) ».
Galabrian posa sa main droite sur le marbre clair de la tombe et quelques larmes s’échappèrent à nouveaux de ses yeux bleus magnifiques, brillants comme ceux d’un loup dans la nuit.
Bien qu’il était près de deux heures du matin lorsqu’il avait quitté Poudlard pour se rendre dans sa propriété en Transylvanie, il n’était que minuit lorsqu’il passa le seuil de la porte de son manoir. La mine lugubre après avoir passé un peu de temps au côté de sa femme et de sa fille morte il y a bien des années maintenant.
Galabrian entra, le visage très pâle. Tout le manoir était endormit. Il alluma une chandelle et se dirigea dans un immense hall nacré ou un grand escalier circulaire menait à l’étage supérieur. Il entra alors dans un grand couloir et entra dans la première pièce qui semblait être un petit salon.. Là il y trouva un secrétaire ou il s’assit. IL ouvrit un terroir , prit un parchemin et une grand plume. Et commença à écrire une lettre destinée à sa mère qui dormais à l’heure qu’il était .
« A ma chère mère,
Afin de ne pas troublé votre sommeil, je vous écris cette lettre pour vous informé de ma présence dans le manoir dans lequel je resterais ce samedi et dimanche. Au besoin vous me trouverais dans l’aile Est dans mes appartements.
Votre fils, Galabrian. »Il plia soigneusement le parchemin et le mit dans une enveloppe qu’il ferma à la cire. Il se leva repoussa la chaise et sorti de la pièce. Il alla ensuite au fond du couloir et se baissa au bas d’une porte ou il glissait sa lettre. Il se redressa la mine un peu fatigué et mélancolique et entra dans un autre couloir à sa droite. Il marcha une dizaine de mètre et ouvrit une porte qi le mena dans une gigantesque chambre. A son centre un grand lit à baldaquin. La chambre était de couleur sombre dans les ton pourpres. Il n’alluma pas les lumières . Dans la pénombres , il enleva sa veste avec soins et ses chaussures ainsi que sa chemise et alla s’installer dans le lit..
Son regard porté vers le plafond, il ne faisait que pensé à sa soirée et à ses souvenirs perdus.
Une larme coula encore sur son visage fin puis il ferma les yeux seul la mélodie des chants nocturne se faisait entendre au dehors.
(suite au prochain épisode)