Le vampire et le Dumpil

* Un soir d'octobre alors que Maltan revenait de la salle de bain des professeurs ou il avait passer une petite entrevue charnel forte agréable avec l'interimaire de méthamorphose Tatiana Mulleur enver laquelle il n'éprouvait aucun sentiment, le vampire flanait dans le donjon. Un nosfératu comme on en faisait pas deux marchant dans le silence tentant de sentire la moindre presence...
Depuis son arriver le 26 octobre, le vampire avait sentit et savait sut la presence d'un Dumpil. Ennemis redoutable pour un Nosferatu car un Dumpil était à pres tout à moitié humain et les humains était pour cette famille de vampire les plus redoutable de tout les ennemis. Il passa devant la porte du dit Erik Willim Lancaster. L'aristocrate se figa sourire aux lèvres. Fallait-il faire connaissance avec ce monsieur ? Ou passait son chemin et ne pas connaitre son ennemis ou alliée ? Il ne le savait pas c'est pourquoi il resta là , un bon moment espérant voir la porte s'ouvrire seule comme par enchantement car le vampire ne pouvait entrer dans un endroit sans y etre inviter.*

*Maltan se retourna lorsqu'il sentit quelque arrivé. Quelqu'un qui n'avait pas l'air d'aprecié qu'un inconnu traine devant sa porte . Maltan le regarda avant de s'incliné poliment*

_Parrdonnez moi monsieur, je désirrrez juste vous rrencontrrerr.

*Il se releva avec un sourire polit *

_Je me prrésente, je m'appel Maltan Arran pourr vous serrvirr Monsieur Lancasterr...

*Il s'avait son nom grace à la plaque inscrite sur la porte*

_Rravie de vous connaitrres, et parrdonbez moi encorre de ne pas vous avoirr prrévenu de ma visite, je suppose vu votrre méfiance qui se dégage de votrre rregarrd que vous devez ne pas me porrter d'eloge mais je suis là en sans aucune mauvaise intention.

_Je vous rremerrcie, Monsieur.

*Maltan entra dans la pièce et s'y avança, attendant un signal pour s'assoir*

_Je suis là sans rraison aucune, monsieur. Mais je dois vous avouez depuis que j'ai sentis votrre prrésence ici, j'ai voulut voirr à qui j'avais a fairre, comprrennez monsieur, que j'ai appriis à me méfiez de tout avec le temps. C'est pourrquoi je suis là, je voulais voirr quel gentilhomme vous pouviez êtrre malgrrés votrre condition différrente de la mienne.

*Il regarda Mordoc, l'étudiant de tous les côtés*

_Ni humain, ni vampirre, vous êtes bien prréciseux au seine de la comunauté , tout du mions aux perrsonnes dont vous faites allégeance, si je ne m'abuse. Vous n'êtes pas non plus une moitié de mes semblables...Mais parrlons d'autrre chose je ne voudrez pas parraitrre indiscrret, chez vous qui m'avait ouverrt votrre porrte et je vous en rremerrcie .

- Mais je vous en prie, cela est bien naturel...

Répondit-il avec son éternel froideur qui suivait sans répit son ombre...

- Je ne connais pas votre situation, monsieur, bien malgré moi. Me connaître ? Mais que pouvez y prendre comme plaisir, à votre place, je me tiendrais à distance. Ce n'est pas là une raison de vous voir quitter les lieux, simplement une avertissement quelconque qui aurait pu, à un moment ou un autre, vous complaire durant cet entretient, mais si vous voulez bien me suivre...

Et suite à ce discours des plus soudains et vifs, Mordoc tourna les talons et fit signa à Maltan de le suivre. S'ils franchirent un escalier et une porte dans la pénombre, c'était simplement parce qu'Erik détestait la lumière de nuit. Il préférait de loin profiter du seul moment de noiceur réel que lui imposait la nuit. Ils passèrent donc à son bureau, et ce fut à ce moment qu'il invita le vampire à prendre place...

- Précieux au sein de la communauté... Voilà des paroles que je ne croyais possible sorti de la bouche des Nosferatus...

Lui répliqua-t-il très sombrement, mais toujours aussi droit et tenu.

- l'allégeance... Je suis navré de vous l'apprendre, monsieur, mais nulle ne touche à mes lauriers. Si je suis à moitié votre semblable, n'oubliez pas la moitié qui ne l'est pas...

Souffla-t-il avant de reprendre un ton un peu plus solennel.

- Mais non, je vous en prie, ce sujet ne m'importune guère....

*Le vampire le suivit dans l'ombre de la nuit et prit place jambes croisées à la place indiqué*

_Monsieur, sachez que comme chez les humains les vampirres ne sont pas tous de même catgorrie. Ne classer pas toutes les choses dans les mêmes panier. J'ai une conscience du monde qui n'est pas la même que mes congérrent les plus diminué. Je mettais en avant que ce que vous êtes sans vous offensez peut-etrre prréciseu.

*Il regarda Mordoc, il soulignit que les dumpils ou dhumpirs étaient plus résistant qu'un humains ou qu'un vampire et que selon le camps choisit il pouvait être un atout majeur.*

_Si je comprrrend bien vous ne serrvez perrsonne ? J'ai doc du mal à croire que ce puissant dirrecteurr vous ait embaucher dans cet ecole d'humains, sans motifs prréhalables.

*Il croisa les mains à l'aise dans son fauteuil*

_Perrsonnelement je pense que ce sujet pourrait nous donnez de mauvaises oppignions de nous deux. Alorrs je prréfèrre discourrir surr autrre chose. C'est pourrquoi j'aimerrais vous posez la question suivante si vous me le perrmettez ? Vous avez toujourrs était prrofesseurr ? Exvusez moi de mon indiscrretions mais j'aimerrais savoirr afin de comprrendrre un peu plus vos motivations bien que je n'ai rrien avior avec cette école. Je ne suis là que parr simple invitation.

_Arrchitecte vrraiment quel beau métier.

*Maltan sourit , combien d'architecte avait-croisé dans sa vie sans doute beaucoup ! Il faisait souvent appel à eux pour enjoliver ces terres ou pour des projects divers*

_Soldat , je vois que vous avez un grrand pédigrré monsieur. Moi je ne suis qu'un arristocrrate qui organise du mieu qu'il peut les rreception impporrtante de son pays. C'est un métier qui se perrpétue de pèrre en fils. Arrfh, je suis Trransylvanien monsieur , à vôtrre rrregarrd on dirrais que vous avez crroisés d'autrrre gens de mon pays, bien que mon meilleur ami, votrre collègue, Galabrrian est un plus forrt accent que moi.

_Oui je suis tout à fait d'accorrd le besoin change selon les epoques.

*Il regarda et ecouta courtoisement son interlocuteur surment surpérieur à lui en terme de combat, il faudrait donc etre prudent et pas faire de faux pas*

_Arrfh, et bien je ne suis là que parr simple visite. Je suis venue changer un peu les idées que je trrouve un peu trop sombrre à mon meileurr ami Galabrrrian Monsieur Slughorrn à eu la gentillesse de m'inviter à la rrecepetion qu'il donnait en faveurr de l'anniverrsairre de mon meilleurr ami hierrr soirr et donc je me suis fait plaisirr, je suis et je serrais là pendant quelques jourrs.

*Il sourit au proposition aprés avoir fait une certaines grimace de le contentement en entendant le Dumpil parler des transylvaniens.*

_Je vous rremerrcie monesieur Morrdoc, bien que je parrle comme vous le latin,je prreferre m'acoutmer au langues du pays ou je rreside. Parrle-je trrop a ce points mediocrrement l'anglais ? Pourrr ne pas etrre ecouter ?

*Il rit d'un rire qui provenait des ces poumons, un rire bien vieu malgrés son apparence jeune, un certains incidents...*

_Il est bien evidant qu'ici ma petite perrsonne n'est pas de rrenonmer. J'ai quelque connaissance Ecossaise et Lorrd anglais mais celà ne va pas plus loin quelques Frrançais et italien, Hongrrois et autrre rrroumain...Mais je ne suis pas grrand choses comme vous devez le savoirr la trransvlvanie et bien un monde a parrt et loin perrché. Comme je vous l'ai dit je ne suis ici que parr simple visite.
Je suis au courant pourr ce voyage mais l'on m'a bien dit que vous ne viendrrez pas jusqu'en Trransylvanie et forrt heurreusement d'ailleurr vous imaginer perrdrre un de vos élève ? Sa serra drramatique en sachant à quel point les étrranger ne font pas long feu chez nous.

_Oui un ami trres cherrs mais peu imporrte , il n'as rrien a fairre ici.

*L'aristocrate se mit un peu plus à son aise , le sujet "Transylvanie" le mettais mal à l'aise et l'enerver autant parler d'autre chose si c'était pour ne ressortir que les mauvais côtés de son pays*

_Sombrre ? Je ne sais pas, je ne dis là que ce que j'en sais...Mais parrlons d'autrre chose, Monsieur Lancasterr. Vous êtes vieu sa ne trrompe perrsonne, on e vois à votrre langage, savoirr et façon d'aprrenhendé les choses. Vous etes enseignants déshorrmas un trres bon métier, honorrable. Mais une question bien indiscrrete j'en conçois me vint à l'esprrit. Vous êtes donc un Dumpils ou Dhumpirrs je ne sais pas comment vous vous carractérrisé mais parrdonnez moi de vous demandez ça mais si un vampirre à beaucoup d'ennemis je ne prreferres pas devinez ce qui en advient d'un Dumpil et rrassurrez je n'ais rrien contrre vous mais votrre vie à du etrre bien plus mouvementé n'est-ce pas ? Je veux dirre moi qui cache au yeux du monde et en grrande parrtie à ceux que je convie chez moi ma situation j'ai et j'ai eu un cerrtains nombrres d'ennuis dans le passé à cause de ce que je suis mais vous monsieur les vampirres autant que les humains doivent courrire sans arret derrière vous je me trrompe ? Moi même assit face à vous me méfie du point forrt que vous avez face a moi et je prresume que cerrtain de mes congénèrres sans scrrupules ont du déjà essayez de vous nuirre n'est-ce pas ? Si je vous poses ces questions c'est pourr mieu me rrrasurrrez moi meme et connaitrre la perrsonne à qui je m'adrresse...Savoirr si o peux avoirr un discourrt sans discorrde ni mésantent face à ce que nous sommes tous les deux.

*Il le regarda avec instance, lui laisant le temps de repondre*